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Ami perdu
04:57
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T’es passé où mon ami ? On t’as cherché toute la nuit
Mais ya rien à faire, t’as disparu comme ça
Sans prévenir, sans rien dire
T’avais l’air heureux pourtant, une nana, une bagnole
Un jeu de poker et un coup de bol
Je sais pas si t’es au courant mon ami ?
Mais ya ta tête sur tous les murs de la ville
On t’recherche comme un prisonnier, un fugitif,un exilé
Sous ton visage ya pas de prime,
Dans ton regard ya pas de frime
Alors j’ai cru bien faire, direction vers le cimetière
Pensant que tu y’étais, mais il n’ y avait personne
Juste au loin, des bruits, qui résonnent
Moi je courrai dans la ville, à travers les murs
Dans la sueur et les blessures
J’entends encore crier ta mère
« A table à table »
Alors que toi t’es déjà cuit
Alors que toi t’as tout….compris
Mon ami
J’t ai cherché dans les bars cette nuit
Jusqu’aux portes des péages, tu n’étais qu’un mirage
J’ai pas osé regarder le ciel, tellement il était sombre
Tellement on m’a persuadé que tu n’étais qu’une ombre….qu’une ombre
Je sais pas si t’es au courant mon ami ?
Mais ya ta tête sur tous les murs de la ville
On t’recherche comme un prisonnier, un fugitif, un déserteur de la routine
Sous ton visage ya pas de prime,
Dans ton regard ya pas de frime
Alors j’ai cru bien faire, direction vers le cimetière
Pensant que tu y’étais, mais il n’ y avait personne
Juste au loin, des sanglots, qui résonnent
Moi je courrai dans la ville, à travers les murs
Dans la sueur et les blessures
J’entends encore crier ta mère , « à table à table »
Alors que toi t’es déjà cuit
Alors que toi t’as tout compris…mon ami
J’ai bien compris mon ami
La seule personne qui t’retrouvera ce soir mon ami
La seule personne qui t’retrouvera…..c’est toi
Juste toi, oh oui c’est toi
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2. |
Au pays des vermeils
03:51
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Cette fois j’ai tout prévu, mamie le plan est parfait
Il sera 7h30 quand j’irai te délivrer
Dans ta prison à la rencontre du 3ème âge
J’espère que tu ne m’en voudras pas, d’avoir zappé tes chaussons
Après tout c’est pas grave, y’a « Question pour un champion »
Et on s’envolera comme deux oiseaux amoureux
Mamie, au pays des vermeils, s’ennuie à vivre
Et ne cesse de sourire, en pensant qu’aux souvenirs
Mais tu sais Mamie, quand les étoiles t’oublient
Et que tu fermes les yeux, je ne pense qu’à eux, je ne pense qu’à eux
Cette fois la nuit est belle, tant pis si on a crevé
Je te porterai quand même jusqu’à la fin des nuées
On continuera cette dernière chevauchée
Tu vois ma p’tite Mamie je ne t’ai pas oublié
Je te l’avais promis que je reviendrai te chercher
Et tu seras enfin dans ton endroit préféré
Mamie, au pays des vermeils, s’ennuie à vivre
Et ne cesse de sourire, en pensant qu’aux souvenirs
Mais tu sais Mamie, quand les étoiles t’oublient
Et que tu fermes les yeux, je ne pense qu’à eux, je ne pense qu’à eux
T’entends au loin les gyrophares qui hurlent dans la nuit
Nous aurons pas ces connards, c’est ton p’tit fils qui te le dit
Et tu me raconteras les légendes de ton pays
Là-bas y’a des lumières, je crois que nous sommes arrivés
Mamie ne me perd pas, moi j’veux te retrouver
Et j’te déposerai comme une fleur sacrée
Mamie, au pays des vermeils, s’ennuie à vivre
Et ne cesse de sourire, en pensant qu’aux souvenirs
Mais tu sais Mamie, quand les étoiles t’oublient
Et que tu fermes les yeux, je ne pense qu’à eux, je ne pense qu’à eux
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3. |
Excuse-moi
04:32
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Je n’ai pas su te dire, avant, ce que je ressentais
J’ai pas osé écrire de ma plume, pour ce que tu étais
Mais là je crois, que je vais t’avouer tous mes torts
Et c’est pour ça, car maintenant je suis mort…excuse-moi
J’étais parti ce matin travailler
Et tous ces gens qui sont prêts à t’aider
Sur le quai c’est le cimetière des zombies
Tout est sombre, tout est gris
Le train face à moi, l’a compris
C’est mon corps qu’on composte, aujourd’hui
Mais excuse-moi chérie, d’avoir tout gâché, d’avoir rien dit
Mais excuse-moi encore, embrasse les enfants
Qu’ils ne fassent pas comme moi
Baisser les bras, excuse-moi
Force est de constater pour eux, que je ne savais rien faire
La pression d’un patron et des scènes en enfer
M’ont fait comprendre, que je ne valais rien
Ils ont gagnés, aujourd’hui je suis sous un train
Mais excuse-moi chérie, d’avoir tout gâché, d’avoir rien dit
Mais excuse-moi encore, embrasse les enfants bien fort
Qu’ils ne fassent pas comme moi
Baisser les bras, excuse-moi
Je n’ai pas su te dire, avant, ce que je ressentais
J’ai pas osé, écrire ,de ma plume pour ce que tu étais
Mais là je crois que je vais t’avouer tous mes torts
Et c’est pour ça, car maintenant je suis mort
Mais excuse-moi chérie, d’avoir tout gâché, d’avoir rien dit
Mais excuse-moi encore, embrasse les enfants bien fort
Qu’ils ne fassent pas comme moi
Baisser les bras, excuse-moi
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4. |
Prendre la route
03:28
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Besoin de prendre la route, de partir loin d’ici
De semer la déroute et briser mon ennui
Mais pour franchir le pas je compte un peu sur toi t’es mon inspiration, celle qui me dit attention
Parce-que toi, parce que moi On n’est pas faits pour être ici N’aie pas peur, décides toi
Et puis viens avec moi
La la la la, la la la la
Besoin de prendre la route, du temps et du répit Parcourir les chemins, tous les deux sous la pluie Te voir rougir enfin, un sourire chaque nuit
Et te prendre la main, te serrer à l’infini
Parce-que toi, parce que moi On n’est pas faits pour être ici N’aie pas peur, décides toi
Et puis viens avec moi
La la la la, la la la la
Besoin de prendre la route, de souffler un instant D’affronter les dangers, faire un peu ton prince charmant Puis te cacher les yeux, inexorablement
En disant des « je t’aime » et ça c’est pour longtemps
Parce-que toi, parce que moi On n’est pas faits pour être ici N’aie pas peur, décides toi
Et puis viens avec moi
La la la la, la la la la
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5. |
Palavas-les-flots
03:06
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Quand je t’ai rencontré, tu étais si beau
Que tu m’as fait penser, à Palavas les flots
Une nuit de Juillet où l’on se promenait
Et toi tu m’as sourit, avant de m’enlacer
Les étoiles illuminent ton corps
Les étoiles illuminent ton corps
Les étoiles illuminent ton corps
Et moi tu sais que j’adore
Les étoiles illuminent ton corps
Et moi tu sais que j’adore
Quand je t’ai rencontré, tu étais si beau
Que tu m’as fait penser, à Palavas les flots
Une nuit de Juillet où tu m’as embrassé
Où tout a commencé, sans jamais rien finir
Les étoiles illuminent ton corps
Les étoiles illuminent ton corps
Les étoiles illuminent ton corps
Et moi tu sais que j’adore
Les étoiles illuminent ton corps
Et moi tu sais que j’adore
Quand je t’ai rencontré, tu étais si beau
Que tu m’as fait penser, à Palavas les flots
Balade sur la jetée et quelques allers retours
Pour un dernier jet, dans cette histoire d’un jour
Les étoiles illuminent ton corps
Les étoiles illuminent ton corps
Les étoiles illuminent ton corps
Et moi tu sais que j’adore
Les étoiles illuminent ton corps
Et moi tu sais que j’adore
Vaut mieux, que plus rien ne s’arrête encore
A Palavas les flots, à Palavas les flots
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6. |
Sourire égaré
04:21
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Petite fille m’a réveillé ce matin,
Plein de détresse et de chagrin
Petite fille a perdue son sourire
Je lui ai dit que j’irai le chercher
Dans les nuages ou en enfer
Quelle importance pour lui plaire
Elle cherche un héros, un protecteur
Espérant lui faire oublier tous ses malheurs
Quand la lumière s’éteint, tout lui revient
Les cris, la peur, et juste en la voyant
Tu devines, le cauchemar de l’enfant
Orphelin que nous sommes
N’appartenons à personne
A part des noms qui résonnent
Sur des tombes où va personne
Petite fille m’a réveillé ce matin
Plein de détresse et de chagrin
Petite fille j’ai retrouvé ton sourire
Il était bien dans les nuages
Une éclaircie me l’a donné
Tout va bien, tout va bien
Tout va bien, les anges sont loin
Et les diables aussi, aussi, aussi…
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