1. |
J'ai appris
03:37
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Il marche à côté de sa mère,
ce garçon ne sait pas trop quoi faire
Un peu paumé, un peu ado,
Des rdv aux C.I.O ,
Des gardes à vue aux « comico »,
Pour lui la vie ce n’est pas toujours beau
Le gamin veut être poète,
écrire des livres et faire la fête
Mais ce pauvre CPE s’était foutu de sa tête
Et dans sa tête résonne ses mots
J’ai appris à me battre, sans me faire une armée
Apprendre à sourire même quand je pleurais
Imaginer un monde de rêve, que la folie devienne un règne
Que les hommes pleurent et les femmes rêvent
Quelques années ont passées
Le p’tit bonhomme n’a pas bougé
Un accident un soir d’Eté,
Non il n’a pas eu de métier
Et la seule femme qu’il a aimé
C’est sa maman à son chevet
Le jeune garçon n’a pas tremblé
Quand le médecin lui annoncé
Qu’il pouvait bientôt s’en aller
Vers les étoiles la liberté
Et dans sa tête résonne ses mots (x4)
J’ai appris à me battre, sans me faire une armée
Apprendre à sourire même quand je pleurais
Imaginer un monde de rêve, que la folie devienne un règne
Que les hommes pleurent et les femmes rêvent
Paroles et musique (Hugo Crenn)
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2. |
J'ai fais quoi ?
03:32
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C’est le lendemain de la soirée et j’ai la gueule dans le pâté
Le regard hébété ma copine ne veut plus me parler
Elle me dit « t’as l’alcool trop mauvais » et en plus ça te faisait triper
Tu dansais comme un demeuré, tu m’a embêté toute la soirée
Elle m’a dit cette fois j’en ai assez je te quitte sans regret
Mais j’ai fait quoi encore hier, j’ai du trop abuser sur la bière
STP raconte moi tout ça, parce que moi je ne m’en souviens pas
Mais j’ai fait quoi encore hier, j’ai du trop abuser sur la bière
STP raconte moi tout ça, parce que moi je ne m’en souviens pas
Un beau matin de gueule de bois je me suis réveillé mal aux poignets
J’étais dans un commissariat entouré de plusieurs policiers
Elle m’expliqua qu’ils m’ont retrouvé avec ma voiture dans un fossé
Elle me dit cette fois j’en ai assez je te quitte sans regret
Mais j’ai fait quoi encore hier, j’ai du trop abuser sur la bière
STP raconte moi tout ça, parce que moi je ne m’en souviens pas
Mais j’ai fait quoi encore hier, j’ai du trop abuser sur la bière
STP raconte moi tout ça, parce que moi je ne m’en souviens pas
Elle est partie devant moi sans que je puisse la rattraper
Quelques temps ont passé elle a retrouvé un mec parfait
Lui au moins ne buvait pas il devait changer ses draps (enculé…)
Je me suis retrouvé dans le brouillard en contemplant mon désespoir
Orphelin et sans rien en attendant le train en gare
Mais j’ai fait quoi encore hier, j’ai du trop abuser sur la bière
STP raconte moi tout ça, parce que moi je ne m’en souviens pas
Mais j’ai fait quoi encore hier, j’ai du trop abuser sur la bière
STP raconte moi tout ça, parce que moi je ne m’en souviens pas
Pero que hecho ayer abusé con la cerveza
Por favor dime lo ya porque no me acuerdo nada
Porque no me acuerdo nada, porque no me acuerdo nada
porque no me acuerdo , porque no me acuerdo
porque no me acuerdo nada, nada, nada
« Hijo de puta »
Paroles et musique (Hugo Crenn)
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3. |
Fille de l'ombre
04:24
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Elle marche dans la ville, d’un pas tranquille
Et la pluie ruisselle sur ses joues fluides
Elle attend patiemment dans cette atmosphère
Que le monde aille mieux qu’il n’y es plus de guerre
En attendant, elle reste dans l’ombre, toujours
Mystérieux charmes impénétrables
Qui sans prévenir soudain se voile
Ses sentiments derrière ses flammes
Se consumant et puis s’efface
En attendant elle reste dans l’ombre
Elle reste dans l’ombre pour mieux nous voir
Elle reste dans l’ombre pour garder l’espoir
Sorte de princesse sans prince charmant
Oh une déesse aux pouvoirs exaltants
Elle reste dans l’ombre, discrètement, infiniment
Elle reste dans l’ombre pour atteindre la lumière
Pendant que son regard déploie les ondes
Elle compte indéfiniment les secondes
Son sablier de souffrance se brisera je pense
Elle veut partir loin, l’avenir incertain
Et ses yeux le montrent bien
En attendant elle reste encore dans l’ombre, toujours
Elle reste dans l’ombre pour mieux nous voir
Elle reste dans l’ombre pour garder l’espoir
Sorte de princesse sans prince charmant
Oh une déesse aux pouvoirs exaltants
Elle reste dans l’ombre, discrètement, infiniment
Elle marche dans la ville d’un pas tranquille
Soudain l’arc en ciel dévoile ses couleurs
Et illumine enfin son visage de bonheur
Elle n’a plus peur et va connaître une vie meilleure
En attendant…..elle part
Elle me regarde dans les yeux avant de partir loin
Fille de l’ombre s’en va, fille de l’ombre déploie ses ailes d’ange
Elle me regarde, elle me regarde dans les yeux
En attendant...elle part
Paroles et musique (Hugo Crenn)
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4. |
Helena
04:43
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Helena danse tous les soirs, c’est la nuit
Il est tard, elle fait ça pour des dollars
Bien trop souvent, un prince charmant
Lui promet des étoiles, elles sont filantes depuis longtemps
Helena prend son taxi, sans trop tarder
Si quelqu’un saute sur ses dentelles mal camouflées
Elle aurait tellement aimé
Etudier, à l’université, ses parents n’ont pas payés
Helena, t’as peur du silence
T’as peur du silence
Helena, ton corps est en transe
Ton corps est en transe
Helena, les corbeaux sont là et les beaux corps aussi
Helena, je t’en prie...ne t’arrête surtout pas
Helena chante sous la pluie, rêve de Paris
De cette ville lumière et de toutes ces folies
Son rêve c’est d’y aller
mais moi je sais qu’un jour Helena on s’y retrouvera
Mais sa vraie vie n’est pas comme ça
Les utopies, les contes de fées elles n’y croient pas
Tout ce qu’elle voulait c’est des enfants
Mais le plus souvent, c’était des coups par ses amants
Helena, t’as peur du silence
T’as peur du silence
Helena, ton corps est en transe
Ton corps est en transe
Helena, les corbeaux sont là et les beaux corps aussi
Helena, je t’en prie...ne t’arrête surtout pas
Ne t’arrête surtout pas, ne t’arrête surtout pas…..Helena
Je t’en prie...ne t’arrête surtout pas
Paroles et musique (Hugo Crenn)
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5. |
Luna
03:36
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Ils m’ont chassés de cet endroit maudit
On m’a traîné pour un papier oublié
Même mes amis me prennent pour un incompris
Car ma colère est bien plus forte que l’ennui
Abandonné comme un chien dans la rue
J’ai vu des rires, des moqueries sur des sourires
Je suis resté là, à attendre des heures
Ma seule chaleur, quelques grammes dans le coeur
On me regardait comme un enfant perdu
Qu’a oublié, ses petits cailloux dans la rue
Mais j’ai eu froid, j’avais froid Luna
Et j’avais peur, je ne savais pas que t’étais là
Au petit matin, quand la lune disparaît
Je rentre enfin, avec mon cuir libéré
Qu’est-je donc gagné , peut-être un peu de fierté
La neige tombe, quelques larmes qui fondent
Mais j’ai eu froid, j’avais froid Luna
Et j’avais peur, je ne savais pas que t’étais là
La neige tombe, quelques larmes qui fondent
Je n’ai plus peur, je sais maintenant que tu es là
Je sais maintenant que tu es là…..
Paroles et musique (Hugo Crenn)
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